L’encre de chine met au travail les relations entre le vide et le plein.
Le blanc du papier entre en dialogue avec le noir de l’encre.
Est-on plus près de l’écriture lorsqu’on emploie l’encre de chine ?
Par quel quels chemins la perception passe-t-elle pour que ces deux couleurs, le noir et le blanc, déploient toutes leurs nuances dans l’encre et en fassent la couleur du rêve ?
La méditation s’invite dans l’encre.
Série "éléments" publiée dans Résonance, Musique et do in, chez Billodot éditeur, sur une idée de Émilie Moreau.